Parce que j'aime écrire, parce que il me faut écrire...

Laisse-toi la porte ouverte, on revient toujours, dans un moment de creux ou de repos on retrouve le chemin des mots avant de reprendre celui de la vie. C'est un va et vient qui n'a jamais rien dé définitif.

Alors à demain, à bientôt :) !

A bientôt nouvelami :)

Salut Insomnia,

Je n'écris plus beaucoup, mais toi non plus.....
Je passerai encore chez-toi de temps en temps, au cas où.....

Bonne continuation et .... à bientôt....

Salut Songe....

Tu es quelqu'un de sage, de bon sens. Et je crois que tu as raison.
Je ne veux pas fermer cette porte, j'ai trop besoin d'ecrire et de me liberer.
Mais, je concilie trés mal "vie reelle" et "vie sur joueb".

Je vais cependant suivre tes conseils: Je vais juste "entre-fermer" cette porte.
Et revenir ici quand le besoin se ferra trop pressant.

Merci beaucoup pour ce commentaire.
A demain ;-)

Ca me rend triste. Que tu écrives concrètement "c'est mon dernier article ici". Parce que même si tu n'écrivais plus, je passais parfois pour voir si par hasard tu n'avais pas laissé une petite trace. Tu resteras une jolie présence sur joueb, et je te l'ai dit l'autre jour, une présence qui me rappelle la douceur d'avant.

Si on te laisse un commentaire, histoire de prendre de tes nouvelles,  ici à l'occasion, le recevras-tu?

Bonne vraie vie (crois-tu alors que nous nous sommes pas encore dans la vraie vie?!).

Je t'embrasse.

Salut Passionée,

J'ai rencontré des gens formidables sur Joueb. Et tu en fais partie, tu le sais je pense.
J'ai adoré cette "douceur" dont tu parles.
C'est vrai, on allait les uns chez les autres, on echangait, on s'appreciait....
Cette periode m'a fait beaucoup de bien, mais il fallait que je la cloture.

L'année 2007 a été un veritable enfer pour moi.
Il ne m'est arrivé que des tuiles.
Aujourd'hui encore, je nage dans les emm........(J'attends 2008 avec impatience)

Et, dans cet enfer, j'allais parfois te lire. Tu étais une bouffée d'oxygene dans l'océan dans lequel je coulais....

Aujourd'hui, j'ecris sur un cahier.... chez-moi... devant ma cheminée....
Je n'ecris pas des textes tout simples, j'ecris un livre.
J'essaie de créer une histoire, d'inventer une histoire qui me raconte, parce que je ne suis pas encore gueri.

Je t'apprecie et j'adore te lire.
Alors je ferai tout ce que je peux pour garder le contact avec toi.
Je passerai sur ton joueb pour te laisser mon adresse Email... Des fois que....

Je t'embrasse.
Passe une bonne journée ;-)

PS: Je ne sais pas si Joueb est la vraie vie... Mais, la vie sur Joueb est pourtant si agreable et si facile...

Bon vent à toi, Nouvelami ! Je suis du même avis que Songe, tout en partageant ta vision de la vie qu'il ne faut pas oublier trop longtemps derrière un écran. Nous avons tous nos périodes creuses et pleines en tant que blogueurs, mais nous ne devons jamais nous oublier.
Je t'embrasse et te souhaite de beaux instants à vivre !

Mirages réels. Mirages factices. Qui peut faire le distinguo ? Qui peut savoir ou est la part de folie dans la réalité et où est la part de réalité dans la folie ? Tout se mélange, tout n’est qu’un alors que nous vivons notre rêve sans nous en rendre compte. On va de belles voitures en belles voitures, de richesses en richesses, d’amour en amour, d’amitiés en amitiés, offrant notre tout, notre rien. On croit en ce dieu qui n’existe pas, on croit en ces étoiles, planètes mortes nées, on croit en ce phœnix qui renait toujours de ses cendres, de ce non être en perpétuel mouvement, volant d’aventures en aventures. On se complait dans notre silence, car le silence est d’or. A quoi beau dire des choses que les autres ne peuvent pas comprendre ?

De l’argent, de la vitesse, de la beauté facile, à consommer sans modération, tout de suite comme on consommerait une fille de joie. Pour le moment, l’éternité d’un moment furtif. Tout oublier, pour ne jamais se souvenir, se souvenir de quoi. Le présent n’existe que parce que le passé et le futur le soutiennent. Sans lui il n’ya rien. Mais ou est la clef de ce système. Pourquoi ce passé est plus présent que le présent lui-même et parfois aussi lointain que le futur incertain ?

On avance, assoiffés, apeurés, aveuglés par nos sentiments, notre être tout entier se donne, croyant connaitre l’issue, croyant que tous ces buts ont enfin une raison d’être. Vivre pour soi n’a aucune utilité. On avance main dans la main. Amoureux, amis, amants, d’un jour, d’un soir, d’une minute de bonheur. Et puis tout s’écroule, le tourbillon de la vie nous entraine, on sombre dans la tristesse, l’abandon de soi, de l’autre, de nos rêves morts nés, de tout ce qui nous faisait, nous pour nous et nous pour les autres.

On se prend alors à voir ce cauchemar défiler devant nos yeux hallucinés. Mais qui est cet homme sur cet écran. Est-ce bien moi ? Pourquoi mes cheveux ont blanchis. Pourquoi mon rire est-il forcé ? Pourquoi ne suis-je plus, tout simplement ? Le miroir du mensonge se brise enfin alors que les mains ensanglantées reflètent l’unique vérité. Celle de la vie. L’unique. La vraie.

Tu pourras toujours rêver, d’amour, d’amitié, de rires, de joies, d’incomparables lendemains, de cadeaux, de voitures, de belles filles. Il y aura toujours ce moment dans ta vie ou toute cette illusion perdra de son importance. Il arrivera un moment ou tu comprendras que la vie n’est qu’une unique et même entité. Ce qu’elle te donne, elle te le reprend aussitôt. Toi dans ton délire tu ne vois rien. Aveuglé que tu es par la concrétisation de tes rêves d’enfant. L’adulte passe sa vie à compenser son enfance disait jacques Brel.

Combien d’entre nous connaissent cette triste réalité ? Combien d’entre nous peuvent se regarder dans un miroir et voir les coulisses sombres et inquiétantes de tout ce cinéma que l’être humain se fait ? Réalisateur et acteur de sa propre bêtise il ne fait sans cesse que de précipiter sa chute finale, tant virtuelle que réelle. Celle qui dans un ultime instant le révélera à sa propre âme tel qu’il est. Petite bête craintive, chétive, recroquevillée sur elle-même alors que la lumière aveuglante se fera de plus en plus pressante.

Arrête donc ta course effrénée toi, toi qui vole vers ton amour, vers ta carrière, vers cet argent qui va te créer, faire de toi cet homme puissant. Arrête de ne voir que les étoiles briller et rejoins l’autre coté pour te construire de l’unique façon qui se doive d’exister. Celle qui te permettra de tout affronter et de ne pas sombrer à la moindre défaite. Qui a dit que la réussite menait au bonheur ? Qui a dit que le bonheur se trouvait forcément dans ce trop plein de tout et ce grand désert de rien ?

Toi peut-être…Moi je me contente de regarder tout ça d’en haut, comme un aigle qui survole, qui sait ce qui l’attend au delà des montagnes dorées. Lucide, sur que la seule vérité qui compte est celle de ce bruit sourd que tu as oublié d’écouter à force de ne penser qu’à prouver aux autres, qu’à te prouver à toi-même ce que tu vaux. Celui du cœur qui, seul ami fidèle, te montre le chemin à tes sens aveuglés. Tu rêves de californication, sans issue de secours, remplie de solitude et de faux sentiments, bouffés par le pouvoir, bouffés par l’argent.

Alors que tes yeux se fermeront, je pleurerai sur toi, l’ami…se détourner toujours de ce trop de facilité. Même si l’on en fait partie. Refuser l’apparence et faire vivre ce cœur, unique vérité d’un aveuglement qui n’est…

Qu’apparent.

PS: en deux mots, vis ta vie avec ton coeur et ne bouffe pas les rêves factices par pure volonté de richesse...le reste fous tois-en.

 

Je suis venue te dire au revoir, j'ai décidé de fermer 'chez Insomnia'.
Si tu repasse par ici je resterai au bout de l'adresse mail que j'ai laissé là bas.
Je t'embrasse,
A bientôt.
Insomnia

Coucou, ça fait bien longtemps que tu n'as pas écrit ici
et bien longtemps que je ne suis pas passée par ici
J'étais Rafaelle, tu te souviens ?
Je viens d'avoir un flash et de me rappeler de toi.
En fait je pense souvent à toi, je me rappelle ton histoire, ton enfance..

J'espère que tu vas bien

Passe par chez moi si tu veux  :)

je te fais des bisous, prends soin de toi et à bientôt

Cher nouvelami,

Je suis triste de t'avoir manqué. Revenir ici est étrange, une foule de souvenirs reviennent. Ce temps-là a un goût aigre-doux. Paradoxalement, je retombe dans le même genre de sensation ces temps-ci, ce temps-là revient, je le croyais mort mais finalement, rien n'a vraiment changé et je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer.
J'éprouve beaucoup de difficultés à écrire depuis un an. Peut-être un jour, peut-être ailleurs. Je reviendrai surement. Sous cette forme ou sous une autre.
Dans mon coeur, il y a une place spéciale pour Amethyst et pour tous les gens incroyables qu'elle a connu ici. Amethyst, c'était un petit morceau de moi et je l'avoue j'ai vraiment une tendresse particulière pour cette époque malgré tout le triste et le noir. J'avance mais sur certains points c'est du surplace, on ne se refait décidémment pas.
Je vais t'envoyer un mail, un mail du genre bouteille à la mer.

A bientôt. Cher Nouvelami.